I PRAY, WE PRAY FOR PARIS

Après un week-end pareil, difficile de reprendre une vie normale. Ces lieux attaqués, on les a fréquentés, on a même écrit des articles dessus. Mais finalement que l’on ait fréquenté ces lieux ou non, que l’on connaisse des personnes touchées de près ou de loin par ce drame ou non, c’est avant tout la liberté fondamentale de tout un chacun qu’ils ont essayé de remettre en cause vendredi soir. La liberté de boire des coups entre potes à la terrasse d’un bar, la liberté d’aller voir sur scène un groupe qui nous fait vibrer. Mais en vain, car demain nous chanterons, danserons et rirons de plus belle. Nous le devons aux victimes de ce drame et à leurs proches. Nous le ferons, mais demain.